Produire son énergie domestique grâce aux panneaux solaires

Produire son énergie en Belgique : quelles solutions pour gagner en autonomie énergétique ?

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Chez Powerleaz, chaque projet est unique et nous accompagnons nos clients de manière efficace et personnalisée.

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En Belgique, la législation est en constante évolution et nos équipes ont à cœur de rester informés des dernières nouveautés pour proposer un service aux normes en vigueur.

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De la visite initiale à la finalisation du projet en passant par le devis sur mesure ou la visite des chantiers, nos équipes assurent un suivi régulier et complet de votre projet.

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Notre objectif est d’augmenter votre autoconsommation et d’optimiser vos performances énergiques. Pour cela, nous nous efforçons à proposer un service de qualité.

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Pourquoi faire le choix de développer sa propre énergie ?

Nous croyons en des valeurs simples mais pourtant essentielles.

Installation panneaux solaires en Belgique

Entre le suivi personnalisé de chacun de nos projets, l’accompagnement sur mesure et l’importance que nous donnons à la qualité de notre service et de nos produits, nous espérons donner vie à votre projet d’optimisation énergétique pour vous et pour la planète.

Vous avez regardé votre dernière facture d’électricité et vous avez remarqué ce chiffre en bas, qui grimpe incessamment ?

En Belgique, ce constat est partagé. Car oui, disons le ; nous sommes trop dépendants du réseau et pas assez armés pour les hausses. En pareille situation, l’électricité devient une charge qu’on ne maîtrise plus.

Partant de là, une idée revient, insistante, comme une évidence. Produire notre énergie, avec nos propres moyens, pour ne plus dépendre d’un système extérieur. Dans cet article, nous explorons ce que ça veut dire concrètement.

Pourquoi produire sa propre énergie en Belgique ?

Contexte énergétique belge : prix, dépendance, et enjeux climatiques

Vous l’avez remarqué, forcément. Tout le monde l’a vu et continue d’en parler. Au cours de ces dernières années, les prix de l’électricité ont considérablement augmenté. Cela tient en partie à la dépendance de notre pays aux énergies fossiles importées.

En 2022, elles représentaient environ 67,2 % de la consommation d’énergie primaire (pétrole, gaz, charbon). Comme on peut s’y attendre, cette dépendance entraîne des prix volatils, difficilement soutenables. Un événement géopolitique, même lointain, et voilà que vos dépenses s’envolent sans que vous n’ayez rien demandé.

L’autre problème, c’est que cette énergie-là, elle réchauffe plus qu’elle n’éclaire. Le pays s’est engagé à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 55 % d’ici 2030 et à atteindre la neutralité carbone d’ici 2050. Sur le papier, c’est ambitieux. Dans les faits, on en est loin.

Les dernières projections parlent d’une baisse de 42,6 % au mieux. Et encore, ça ne concerne que les secteurs hors quotas : transports, bâtiments, agriculture. Le cœur du quotidien, en somme. Cette situation agit comme un signal d’alarme  ; sans transition claire, ni sobriété, ni indépendance ne seront possibles.

Bénéfices économiques et environnementaux pour les particuliers et PME

C’est un fait ! Pour les familles comme pour les PME, produire sa propre énergie revient à poser un acte d’anticipation, de lucidité et d’intelligence économique.

D’ailleurs, la réduction de la facture énergétique est un bénéfice immédiat. En consommant leur propre électricité, les ménages réduisent leur dépendance au réseau et reprennent la main sur leur budget énergétique.

D’un autre côté, une maison équipée de panneaux solaires, de batteries et d’un système intelligent attire forcément les potentiels acheteurs. Elle incarne un bien économe en énergie, une promesse de stabilité, de prévisibilité ; et aujourd’hui, ça compte.

Et encore, on pourrait aller plus loin. Particulier ? PME ? En investissant dans ces solutions, vous ne vous contentez pas de baisser votre facture. Vous alimentez un mouvement collectif et vous contribuez directement à la transition énergétique belge, concrètement, pas en théorie.

Quelles sont les solutions pour produire son énergie soi-même ?

Les panneaux solaires photovoltaïques

En Belgique, lorsqu’on parle d’autonomie énergétique, les panneaux solaires arrivent en tête. Pas étonnant étant donné que c’est la solution la plus accessible, la plus installée, et surtout, la plus directe. On capte la lumière, on la transforme en électricité, et on alimente sa maison.

Concrètement, les cellules photovoltaïques captent le rayonnement solaire et le convertissent en courant continu. L’onduleur prend ensuite le relais pour le transformer en courant alternatif, utilisable dans l’habitat. Le rendement dépend de plusieurs paramètres : l’orientation (plein sud, c’est l’idéal) et l’inclinaison (30°, si possible).

À titre indicatif, un panneau d’environ 1 m² peut produire autour de 100 kWh par an. Ainsi, avec une installation moyenne de 15 panneaux (soit 6 kWc), on peut générer jusqu’à 5 500 kWh par an. Côté technique, les toits plats ou inclinés s’y prêtent très bien.

Et pour ce qui est de la rentabilité, le facteur géographique est décisif. En Wallonie, le tarif prosumer impose une redevance pour l’utilisation du réseau. À Bruxelles, cette redevance n’existe pas sur l’électricité autoconsommée grâce aux compteurs intelligents, offrant un gain net pour le propriétaire.

En Flandre, le système a également évolué avec les compteurs numériques pour favoriser la facturation sur le prélèvement réel du réseau plutôt que sur un forfait. Ajoutez à cela les aides régionales (certificats verts, primes jusqu’à 3 000 €) et vous obtenez une solution accessible.

Les pompes à chaleur (PAC) couplées à des panneaux solaires

Les PAC exploitent l’énergie de l’air, du sol ou de l’eau pour chauffer ou rafraîchir une habitation, consommant peu d’électricité pour fonctionner. Lorsqu’elles sont alimentées par des panneaux solaires, elles permettent de réduire drastiquement la dépendance aux énergies fossiles, comme le gaz ou le mazout.

En Belgique, une pompe à chaleur peut couvrir jusqu’à 75 % des besoins en chauffage sans puiser dans votre portefeuille. Le reste ? Il est assuré par de l’électricité, idéalement produite par vos panneaux solaires. Sinon, par le réseau.

C’est cette combinaison qui fait la force du système (en rénovation, surtout). Remplacer une vieille chaudière par une PAC, y associer une installation photovoltaïque, et soudain, le bâtiment change de catégorie. Il devient plus sobre, plus stable, mieux armé face aux hausses de prix.

Les éoliennes domestiques

Posséder sa propre éolienne séduit sur le papier. L’idée de produire son électricité avec le vent, chez soi, a quelque chose d’élégant, d’autonome, presque poétique. Mais en Belgique, la réalité est moins simple.

En effet, le rendement d’une éolienne dépend d’un facteur qu’on ne maîtrise pas : la vitesse du vent. Et celle-ci varie fortement. À la côte, on peut espérer 6 à 7 m/s, ce qui est correct. Mais en Haute Belgique, on tombe à 2 à 4 m/s ; pas assez pour faire tourner quoi que ce soit de manière rentable. D’ailleurs, en ville, c’est encore pire, car les immeubles bloquent, fragmentent et créent des turbulences. À Bruxelles, par exemple, les petites éoliennes sont rarement viables, sauf exception.

On peut également mentionner un coût d’installation élevé (entre 10 000 et 40 000 €) pour un retour sur investissement qui commence, au mieux, à 15 ans. Vous en conviendrez, c’est long. Beaucoup plus long que pour des panneaux solaires. Et encore, si vous passez les démarches : permis d’urbanisme, déclaration à la CREG, accord du gestionnaire de réseau, compteur bidirectionnel, informer les voisins… Certes pas insurmontable, mais clairement dissuasif.

Les installations hybrides et systèmes combinés

Associer panneaux solaires, batteries domestiques et pompe à chaleur revient à viser bien plus qu’un simple gain financier. On cherche ici une autonomie réelle, tangible, loin des apparences.

Les batteries (au lithium, ou au sel pour les plus prudents) captent l’excédent solaire et le rendent disponible quand il le faut : le soir, les jours gris, ou pendant les pics de consommation. Grâce à elles, l’autoconsommation grimpe, parfois du simple au double. On passe de 30 % à 60, 70, parfois 80 % d’énergie utilisée sur place. Forcément, les sorties d’énergie se font rares et avec elles s’efface la dépendance aux grands réseaux.

Ajoutez une pompe à chaleur, et le tableau s’élargit : chauffage, eau chaude, ventilation ; le tout alimenté, en grande partie, par le soleil stocké. En plus, avec un système de gestion intelligent (domotique, EMS…), chaque kilowatt est piloté avec précision. On sait quand produire, quand réserver et surtout quand consommer.

Ce que dit la loi en Belgique sur l’autoproduction d’énergie

Réglementation fédérale et différences régionales (Wallonie, Flandre, Bruxelles)

En Belgique, l’autoproduction d’énergie, notamment via des panneaux solaires, est encadrée par des réglementations fédérales et régionales. Les règles varient selon la Wallonie, la Flandre et Bruxelles.

À l’échelle fédérale, tout commence avec la norme Synergrid C10/11. C’est elle qui fixe les conditions techniques : sécurité, compatibilité réseau, exigences électriques. Aucune installation ne peut se brancher sans avoir été vérifiée. Il faut une attestation de conformité, délivrée par un organisme agréé.

Ensuite, tout se joue au niveau régional. En Wallonie, vous avez 30 jours après la mise en service pour déclarer votre installation auprès de votre gestionnaire de réseau (ORES ou RESA). Au-delà de 10 kVA, un contrôle technique devient obligatoire. En Flandre, même logique avec Fluvius, mais les petites installations (moins de 10 kVA) bénéficient de démarches allégées. À Bruxelles Sibelga demande qu’une déclaration soit transmise dans le mois qui suit la réception de l’attestation. Pour le suivi de la production, un compteur vert aux normes MID est requis.

Et la revente ? Là encore, trois systèmes différents. En Flandre, depuis 2021, fini le compteur qui tourne à l’envers. Si vous produisez plus que ce que vous consommez, vous devez vendre le surplus via un contrat avec votre fournisseur. À Bruxelles, le système de certificats verts continue, mais la compensation a été supprimée fin 2021. En Wallonie, la compensation partielle subsiste pour certains compteurs installés avant les réformes, mais pour les nouvelles installations, seule l’injection réelle est prise en compte.

Compteur intelligent et tarif prosumer

Les compteurs intelligents sont en train de devenir la norme en Belgique. Et pour cause, ces appareils mesurent séparément ce que vous consommez de ce que vous injectez, facilitant ainsi une facturation plus précise, plus transparente. Cependant, selon où vous habitez, les règles changent.

À Bruxelles, ils sont obligatoires pour les prosumers. Sibelga les installe gratuitement, à condition que l’initiative vienne de son côté. En Flandre, Fluvius généralise leur installation pour toute nouvelle mise en service photovoltaïque ou lors de travaux importants. Si vous les demandez vous-même, comptez 88 €.

En Wallonie, la transition est en cours. ORES facturait encore 152 € pour une installation anticipée, mais depuis 2024, les remplacements planifiés sont gratuits. Là-bas, le tarif prosumer reste d’actualité pour ceux qui ont un compteur classique : une redevance fixe, calculée sur la puissance de l’installation.

Financer son projet : aides, primes et rentabilité

Aperçu des aides régionales (2025)

Se lancer dans l’autoproduction énergétique revient aussi à naviguer dans un paysage d’aides publiques morcelé. Ces dispositifs sont ajustés selon les priorités régionales et révisés régulièrement.

En Wallonie, la réforme des primes énergie entrée en vigueur en février 2025 a fait preuve de plus de fermeté. Contraintes budgétaires obligent ; les montants de base ont été réduits d’environ 60 %. L’aide est désormais plafonnée à 70 % du coût pour les revenus modestes (catégories R1 et R2), et à 50 % pour les revenus intermédiaires (R3 et R4). Une pompe à chaleur peut encore donner droit à 3 000 € de prime, mais sous conditions strictes :

  • un audit énergétique préalable,
  • un entrepreneur agréé,
  • et un dossier en bonne et due forme.

 

Bruxelles, de son côté, continue de miser sur les Primes RENOLUTION, issues de la fusion des dispositifs existants depuis 2022. Ici, le soutien passe en grande partie par le mécanisme des certificats verts. Selon la production, un ménage peut espérer entre 790 et 950 € par an, pendant dix ans. (ces montants sont des estimations maximales). Les primes s’adressent aux propriétaires comme aux locataires, avec un bonus pour les revenus modestes.

En Flandre, la dynamique est différente. La prime directe pour les panneaux solaires a été supprimée en 2024, mais un levier financier subsiste : le prêt MijnVerbouwLening, qui permet d’emprunter jusqu’à 60 000 € à un taux encadré de 2,25 % (indexé en 2025). Les ménages à revenus faibles ou moyens sont prioritaires, avec des des conditions de prêt avantageuses (jusqu’à 0% d’intérêt).

Simuler la rentabilité d’un projet d’autoproduction en Belgique

La rentabilité d’un projet d’autoproduction, notamment avec des panneaux solaires, dépend de plusieurs variables.

En Belgique, la durée moyenne d’amortissement pour une installation photovoltaïque est estimée à environ 7 à 10 ans. Cette période peut varier en fonction de l’ensoleillement, plus favorable à la côte (1 100 kWh/m²/an) qu’en Ardenne (900 kWh/m²/an). Elle dépend aussi de l’orientation du toit et de la consommation annuelle du ménage.

Une famille consommant 5 000 kWh/an, avec une installation de 6 kWc produisant 5 500 kWh/an, peut économiser jusqu’à 1 500 € par an sur sa facture. L’économie est d’autant plus marquée si l’autoconsommation est optimisée grâce à une batterie domestique, qui fait grimper le taux d’utilisation de 30 % à 60-80 %.

Cependant, le tarif prosumer en Wallonie (de 234 à 346 €/an selon le gestionnaire de réseau) allonge légèrement le retour sur investissement. La suppression du compteur inversé pour les nouvelles installations depuis 2024 y contribue également.

Financement avec ou sans apport : leasing, crédit vert, tiers-investisseur

Pour financer un projet d’autoproduction sans apport initial, plusieurs options existent. Le leasing solaire, proposé par des acteurs comme Powerleaz, permet d’installer des panneaux solaires sans investissement upfront. D’accord pour l’idée. Mais dans le quotidien, ça donne quoi ?

En effet, l’entreprise s’occupe de tout (étude, installation, maintenance) et vous, vous payez un loyer mensuel. Au bout de 10 à 15 ans, les panneaux deviennent votre propriété. En attendant, vous réduisez déjà vos factures. Cette solution convient aux ménages souhaitant éviter les coûts initiaux tout en bénéficiant d’économies immédiates.

Autre option : les crédits verts. En Wallonie, le Rénopack permet d’emprunter jusqu’à 60 000 € à taux zéro, sur 30 ans. À Bruxelles, le crédit Écoreno finance jusqu’à 25 000 €, à un taux variant entre 1,5 % et 2,5 %. Ces prêts couvrent l’ensemble des solutions pour se rapprocher de l’autonomie.

Dernière piste, mais pas des moindres : le tiers-investisseur. Là encore, Powerleaz est présent et le principe est très simple. Une entreprise finance l’installation, en reste propriétaire, et vous, vous ne payez que l’énergie produite. À un tarif maîtrisé, souvent inférieur au prix du réseau. Vous gardez vos finances intactes, votre tranquillité aussi.

Pour qui est-ce pertinent ? Cas d’usage et profils types

Le cas des propriétaires occupants

Pour un propriétaire occupant en Belgique, produire sa propre énergie permet d’atteindre une autonomie énergétique significative au quotidien.

Avec une installation photovoltaïque bien pensée, vous pouvez couvrir l’éclairage, les appareils, une partie du chauffage. Et surtout, vous amortissez la hausse continue du prix de l’électricité. L’autoconsommation devient une stratégie de stabilité, pas seulement d’économie.
De plus, il ne s’agit pas seulement de compenser l’existant, mais aussi d’anticiper. L’électrification des usages s’accélère : pompes à chaleur, boilers thermodynamiques, véhicules électriques. De ce fait, produire soi-même, c’est déjà se préparer à ce qui, bientôt, deviendra la règle.

Le cas des indépendants et PME

Pour les indépendants et les PME, l’autoproduction d’énergie représente une opportunité de réduire les charges fixes. En installant des panneaux solaires ou des batteries, une PME peut autoconsommer son énergie. Elle réduit ainsi ses factures et se protège contre les hausses des prix.

Par ailleurs, adopter des solutions énergétiques durables renforce l’image de marque. En Belgique, où les consommateurs valorisent les entreprises écoresponsables, afficher un engagement clair dans la transition énergétique renforce l’image de marque. Des installations visibles, comme des panneaux solaires, attirent une clientèle sensible aux enjeux environnementaux.

Le cas des copropriétés ou logements collectifs

En Belgique, certains projets comme les communautés énergétiques ouvrent la voie à l’installation de panneaux solaires sur les toits partagés. Cela reste possible, à condition d’obtenir l’accord du syndicat de copropriété.

À Bruxelles, Sibelga facilite ces initiatives en autorisant l’installation de compteurs collectifs pour répartir l’énergie produite entre les résidents. Cependant, des contraintes techniques, comme la capacité du toit ou les limitations du réseau, peuvent compliquer la mise en œuvre. Le rôle du syndicat est central : il doit coordonner les démarches administratives et obtenir un consensus entre copropriétaires.

Des exemples, comme des immeubles bruxellois équipés de panneaux solaires partagés, montrent que ces initiatives réduisent les coûts énergétiques collectifs. Elles renforcent aussi la solidarité environnementale, tout en valorisant l’immeuble.

Comment se lancer dans l’autoproduction d’énergie en Belgique ?

Étapes clés d’un projet réussi

Tout commence par un audit énergétique. Un professionnel agréé vient sur place, analyse vos consommations et propose des solutions. Après l’audit, reste à choisir les bons équipements et un installateur certifié (RESCert pour les panneaux), indispensable pour débloquer les aides.

L’installation elle-même ne prend qu’un ou deux jours pour une maison individuelle. Néanmoins, elle doit répondre aux normes du gestionnaire de réseau sous peine de refus de mise en service ou d’inéligibilité aux aides.

Le processus ne s’arrête pas là. Un projet bien lancé s’entretient et à titre d’information, les panneaux se nettoient au moins une fois par an. L’onduleur, lui, se contrôle tous les dix ans.

Pourquoi se faire accompagner par un expert comme Powerleaz ?

Faire appel à un expert comme Powerleaz simplifie considérablement le processus d’autoproduction.

Tout commence par un diagnostic sur mesure, réalisé par nos techniciens spécialisés qui analysent vos besoins énergétiques, l’orientation de votre toit ainsi que votre consommation annuelle. Sur cette base, nous concevons une solution sur-mesure (panneaux, PAC, batterie) pouvant atteindre 80 % d’autoconsommation.

Nous prenons en charge la gestion administrative, ainsi que les différentes démarches pour l’obtention :

  • des primes régionales,
  • des certificats verts,
  • d’un raccordement,
  • d’un compteur bidirectionnel.

 

Dernier point à noter, notre équipe assure un suivi post-installation rigoureux avec contrôles réguliers et conseils pour optimiser l’autoconsommation via des systèmes EMS.

Vous hésitez encore à franchir le pas ? Contactez-nous, parlons-en et obtenez un devis clair, sans engagement.

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